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raignant pour sa vie dans les hôpitaux Algériens, le « président-dictateur » Bouteflika est hospitalisé à la clinique de Grenoble, protégé par une nuée de gardes du corps.

Une nouvelle fois, le président algérien Bouteflika est hospitalisé, depuis lundi 7 novembre en fin de journée, en urgence à la clinique grenobloise d’Alembert, alors que les précédentes factures d’hospitalisation à Paris et à Grenoble n’ont jamais été réglées. La France est généreuse avec l’ancien chef de guerre du FLN (Front de Libération Nationale de l’Algérie), qui s’était illustré par le massacre de milliers de civils Français. Déjà hospitalisé dans un état critique le 3 décembre 2015 (lire http://ripostelaique.com/exclusif-bouteflika-hospitalise-a-nos-frais-etat-de-siege-a-grenoble.html ), le président Algérien et ses nombreux « gorilles » ont perturbé l’accès normal à la clinique de Grenoble. Difficile en effet pour les Français malades d’accéder hier à la clinique d’Alembert de Grenoble où le « président-dictateur » algérien Abdelaziz Bouteflika, 79 ans, bénéficie de mesures de sécurité disproportionnées, qui perturbent l’accès normal à l’établissement.

Des forces de sécurité françaises, mais aussi une cohorte de gardes du corps Algériens contrôlaient tous les accès. Abdelaziz Bouteflika a tellement peur des islamistes intégristes en Algérie et des médecins algériens qu’il préfère se faire hospitaliser en France, mais pas à Paris, ville devenue peu sûre à son goût depuis les attentats du 13 novembre 2015.

Première mauvaise nouvelle pour les usagers de la clinique d’Alembert de Grenoble : le président algérien Abdelaziz Bouteflika est hospitalisé pour plusieurs jours en vue d’une éventuelle intervention chirurgicale. Ses problèmes de santé seraient d’une gravité exceptionnelle.

Deuxième mauvaise nouvelles pour les contribuables Français : l’absence de paiement, par l’Etat algérien, depuis plusieurs années, des honoraires médicaux et d’hospitalisation du « président-dictateur » algérien Abdelaziz Bouteflika. Des sommes assez vertigineuses ! Pourquoi le contribuable Français doit-il encore mettre la main à la poche pour sauver Bouteflika ?

Difficile d’accéder à la clinique d’Alembert, la sécurité du dictateur Algérien primant sur le libre accès des patients Français ayant besoin de soins

Troisième mauvaise nouvelle pour les Français : ce minable président de la République, qui a construit davantage de mosquées que d’hôpitaux dans son pays, qui a insulté la France, osant parler de « génocide », rien de moins, commis durant la guerre d’Algérie, continue à se foutre ouvertement de notre pays, en venant s’y faire soigner, alors qu’avec des dirigeants dignes de ce nom, il aurait dû être invité à aller se faire soigner en Arabie saoudite, par exemple !

La nouvelle de l’hospitalisation s’est répandue à Grenoble ce mardi, en raison de l’état de siège mis en place autour la clinique d’Alembert, qui appartient au Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble.

Contacté par téléphone ce mardi après-midi, l’ambassadeur  d’Algérie à Paris nous a confirmé l’hospitalisation et nous a fait parvenir la copie d’un court communiqué de la présidence de la République algérienne qui annonce que « le président Bouteflika a quitté le pays, lundi, pour une courte visite privée en France, durant laquelle il effectuera des soins médicaux périodiques, sous la direction de ses médecins traitants ». De son côté, l’agence de presse algérienne APS a cité un communiqué de la présidence algérienne qui précise que « Bouteflika est en visite privée et qu’il en profitera pour faire des examens médicaux ».

Dans un état critique, le dictateur Algérien est entre les mains du cardiologue Jacques Monségu, qui lui a déjà sauvé la vie en 2013, au grand dam des opposants et des démocrates Algériens

Le président algérien est déjà venu à plusieurs reprises à Grenoble pour des opérations chirurgicales, réalisées par le docteur Jacques Monségu, son cardiologue (qui avait sauvé Abdelaziz Bouteflika en 2013 suite à un AVC, qui aurait pu être mortel). Visiblement, la santé du « président-dictateur » d’Algérie s’aggrave, car Bouteflika était déjà hospitalisé à Grenoble le 14 novembre 2014, puis le 3 décembre 2015. A cette époque, le président algérien était déjà venu en urgence dans le service de cardiologie, mais oubliant ensuite de faire régler les factures d’hospitalisation.

Pas belle la vie du « Président-dictateur » Algérien ?

Francis GRUZELLE

Carte de Presse 55411

Riposte Laïque : Bouteflika hospitalisé à nos frais à Grenoble : les Français méprisés !

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